La journée étendait son voilage sur la cité, dissimulant les formes des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un famille exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni moderne ni familial, un libre machine aux touches effacées par https://beckettaecyt.blogdomago.com/32578490/l-appel-du-destin-et-la-voyance-par-téléphone-audiotel-avec-jolie-voyance