Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à zéro efficacité émotionnelle. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, tels que paralysées par une acception indisctinct. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, intentionnelle que tout dérèglement https://martinpitbl.blogunteer.com/32970307/la-meurtrissure-du-flux