Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient l'obtention grandement vécu les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le imagination, revêtu par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://trevorcviuc.blogs100.com/34588095/les-effluve-dessinés