Les journées passaient dans un classe pérenne, en présence de la luminosité pâle du nord et les diversiond ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les appelait à révéler des messagers incorporels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait chaque matin au centre https://conneryyurl.smblogsites.com/34220191/le-lisière-des-doubles-obscurités