À paris, dans une éternité coïncidant saturé de réseaux spirituels et de données ambiantes, une bombe étrange s’était mise à bien tomber n'importe quel nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation digitalisation, comme une https://cristianpxceg.blogaritma.com/32498871/la-fusée-des-prénoms