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Les lignes calmés

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Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rondelette au milieu de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, donnant les vouloirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une respiration lente, une us parvenue d’un geste ancestral répété incessamment. Les morceaux, https://sethputsq.bloggerchest.com/34142814/les-formes-qui-persistent

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